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Communiqué de presse

Avec le rebond des transactions, la reprise du capital-investissement prend forme — Rapport de Bain & Company sur le marché mondial du capital-investissement

Avec le rebond des transactions, la reprise du capital-investissement prend forme — Rapport de Bain & Company sur le marché mondial du capital-investissement

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Communiqué de presse

Avec le rebond des transactions, la reprise du capital-investissement prend forme — Rapport de Bain & Company sur le marché mondial du capital-investissement
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En Bref
  • Si les investissements et les sorties ont fortement rebondi en 2024, le manque de dynamisme des levées de fonds souligne la persistance d’obstacles liés aux perspectives macroéconomiques et aux troubles géopolitiques.
  • La hausse des coûts nécessaires pour dégager des rendements supérieurs au marché, l’intensité de la concurrence et la pression sur les frais de gestion obligent les fonds à développer des stratégies différenciées de création de valeur, dans un contexte de remontée de l’activité qui sera différent des reprises passées.

BOSTON et LONDRESle 3 mars 2025— Le marché mondial du capital-investissement est en train de reprendre des couleurs, avec des transactions de plus en plus nombreuses. Toutefois, comme l’atteste l’atonie des levées de fonds, les obstacles persistants liés à l’incertitude économique continuent d’assombrir les perspectives d’une véritable reprise du marché. Telle est la conclusion du 16e rapport de Bain & Company sur le marché mondial du capital-investissement, qui paraît aujourd’hui.

Tant les acquisitions que les sorties sont reparties à la hausse l’an dernier, témoignant clairement d’un regain de vigueur du capital-investissement, après deux années de correction sévère qui avaient caractérisé l’une des périodes les plus difficiles qu’ait jamais connue le secteur depuis la crise financière mondiale, explique Bain.

La volonté des gérants de fonds de conclure des transactions et de mobiliser leur stock de capital dormant (dry powder), conjuguée à l’amélioration de la conjoncture induite par la baisse des taux directeurs des banques centrales, a entraîné une augmentation des acquisitions de 37 % sur un an en valeur, à 602 milliards de dollars en 2024 (hors opérations complémentaires). Les sorties ont elles aussi rebondi l’an dernier. Leur valeur au niveau mondial s’est envolée de 34 % en glissement annuel, pour atteindre 468 milliards de dollars, tandis que leur nombre progressait de 22 %, à 1 470, marquant une reprise timide mais bienvenue après le gel des sorties qui avait bloqué les distributions de capital aux investisseurs, ainsi que la liquidité du marché du capital-investissement de manière générale, tout en laissant aux gérants de fonds un stock de 29 000 sociétés toujours en portefeuille.

Malgré la reprise des investissements et des sorties, qui dénote un retournement positif des transactions, la dernière analyse de Bain souligne que la poursuite du redressement du marché du capital-investissement en 2025 dépendra de ses capacités à évoluer dans un contexte macroéconomique en perpétuel mouvement. Malgré la persistance d’obstacles tels que l’inflation, les taux d’intérêt, la politique commerciale internationale ou les facteurs géopolitiques, le secteur a donné la preuve de ses capacités de résilience et d’adaptation, et il est bien placé pour accélérer parallèlement à l’évolution des conditions de marché.

« On peut considérer que 2024 nous a permis de souffler. Le fait que cette détente se poursuive en 2025 dépendra de l’évolution de la situation politique », explique Hugh MacArthur, président Monde du capital-investissement chez Bain & Company. « Nous pensons que les obstacles qui bridaient l’activité depuis mi-2022 devraient continuer de diminuer. Le secteur est impatient de conclure des transactions, les gérants imaginent des moyens originaux de stimuler la liquidité, les fonds souverains comme les fortunes privées devraient investir davantage dans le secteur et les rendements restent élevés. Toutefois, la volonté de conclure des opérations reste retenue par des incertitudes qui laissent le marché nerveux. Les investisseurs voudraient y voir plus clair à travers les nuages de la politique économique et commerciale, de la réglementation et de la géopolitique ».

Le rapport de Bain précise également qu’une véritable reprise mondiale du capital-investissement ne ressemblerait certainement pas aux reprises passées du marché, le secteur étant aujourd’hui aux prises avec des bouleversements structurels qui posent des questions stratégiques de grande ampleur. Selon le rapport, ces changements radicaux sont appelés à modifier considérablement les bases de la concurrence à la fois pour les cibles d’investissement et pour l’accès au capital dans les années à venir.

Bain note une hausse très sensible des coûts nécessaires pour enregistrer des rendements supérieurs à ceux du marché, alors même que les frais facturés aux investisseurs subissent une pression accrue. L’analyse de Bain montre que les frais de gestion nets moyens ont diminué de moitié depuis la crise financière mondiale. La concurrence acharnée sur les transactions maintient les multiples de valorisation à un niveau haut, le coût élevé de la dette rend l’effet de levier moins créateur de valeur et les besoins essentiels des fonds, comme l’obtention d’informations différenciées ou le maintien de relations investisseurs de haut niveau, coûtent de plus en plus cher.

Rebecca Burack, qui dirige la branche capital-investissement de Bain & Company, précise : « Il n’a jamais été plus difficile de générer de l’alpha. Il est vraiment de plus en plus dur d’obtenir de bonnes performances. La reprise qui commence à émerger sera immanquablement synonyme d’opportunités significatives pour les investisseurs. Mais ceux qui en sortiront gagnants seront les fonds possédant un modèle répétable et différencié de création de valeur, ainsi que des stratégies claires de maintien de la croissance et de la performance à long terme. Le plus sûr moyen de faire partie des gagnants consiste à formuler son objectif clairement et à élaborer une stratégie concrète pour faire face à la concurrence au cours des prochaines années ».

Croissance soutenue des transactions dans toutes les régions, avec une prépondérance des retraits de cote dans le haut du marché

Le rapport de Bain retrace en détail la reprise du marché du capital-investissement de l’an dernier, dans un contexte nettement plus favorable au secteur malgré des obstacles persistants. La détente des taux d’intérêt et l’amélioration des perspectives macroéconomiques furent les principaux moteurs de la remontée du nombre d’opérations constatée dans toutes les régions et pour presque toutes les tailles de transactions, explique le rapport. Bain constate que l’augmentation de 83 % des nouveaux prêts syndiqués et la croissance continue du crédit privé ont également facilité la tâche des gérants impatients d’employer quelque 282 milliards de dollars de dry powder. Cependant, bien que les réserves totales de capital prêt à être investi aient légèrement fondu, de 1 300 à
1 200 milliards de dollars, la valeur de ce capital dormant depuis longtemps – c’est-à-dire inemployé depuis quatre ans ou plus – a encore grossi pour représenter 24 % du total, contre 20 % en 2002, ce qui entretient la pression sur les opérateurs du marché et laisse à penser que les gérants auraient encore du mal à trouver des cibles à la fois abordables et de premier ordre.

Bien qu’à l’échelle mondiale la valeur des opérations de rachat ait progressé de 37 %, le nombre d’opérations a augmenté de seulement 10 % en glissement annuel, à environ 3 000 opérations, en conséquence de la hausse de la valeur moyenne de chaque transaction à 849 millions de dollars, la deuxième plus élevée de l’histoire. Les opérations d’une valeur d’un milliard de dollars ou plus représentaient 77 % du total.

La croissance soutenue de la valeur des transactions dans toutes les régions était tirée par l’Europe, qui a enregistré une progression de 54 % pour un nombre d’opérations en hausse de 9 %, suivie de l’Amérique du Nord, avec des augmentations de respectivement 34 % et 9 % également. En France, Doris Galan, en charge de la Practice Private Equity du bureau français, note que « l’année 2024 a été un excellent millésime pour les investissements, en croissance de 6% en volume et près de 3x en valeur, portés notamment par des opérations importantes de retrait de côte. » En Asie-Pacifique, les opérations ont progressé de 11 % en valeur, sur la base d’un nombre de rachats en légère baisse, plusieurs pays de la région enregistrant une croissance à deux chiffres, occultée toutefois par une moindre progression en Chine et par un recul au Japon. La Chine, qui représentait la moitié des opérations de la région Asie-Pacifique en valeur en 2020 encore, est tombée à un peu plus de 25 % l’an dernier.

Les retraits de cote ont continué de dominer le haut du marché du capital-investissement, avec une hausse de 250 milliards de dollars à l’échelle mondiale l’an dernier, et représentent presque la moitié des opérations de plus de 5 milliards de dollars en Amérique du Nord. Aux États-Unis, dans un contexte de marchés boursiers pourtant florissants, les spécialistes cherchant à profiter du décalage entre les cours des actifs et leur valeur intrinsèque ont amplifié le mouvement des retraits de cote, constate Bain. Dans le même temps, la technologie restait le principal secteur pourvoyeur d’opérations de capital-investissement, avec 33 % des transactions en valeur et 26 % en volume, tandis que l’activité restait également soutenue pour les entreprises combinant santé et technologie. Les opérations sur les entreprises de services financiers ont également bondi de 92 % sur un an, tandis que les transactions du secteur industriel progressaient de 81 %.

Les sorties s’extraient de deux années de baisse, mais le manque de liquidité reste problématique

La très forte progression des sorties enregistrée l’an dernier témoignait elle aussi de la vitalité retrouvée du capital-investissement, tout en soulageant un secteur impatient de vendre suffisamment de participations pour satisfaire la demande de distributions aux LPs. La hausse de 34 % en valeur des sorties à l’échelle mondiale procédait d’une augmentation de 22 % du nombre d’opérations en 2024, à 1 470, avec une activité soutenue aussi bien en Amérique du Nord qu’en Europe, mais globalement stable en Asie-Pacifique, où le recul de la Chine a annulé la croissance des autres pays de la région. L’envolée des sorties s’explique avant tout par le bond de 141 % des ventes entre fonds de capital-investissement, générant une valeur totale de 181 milliards de dollars l’an dernier, soutenue par une progression de 48 % de la taille des opérations, souligne Bain. Les opérations stratégiques – soit les reventes de participations à d’autres entreprises – sont restées stables en glissement annuel, tandis que le canal des introductions en Bourse restait léthargique, puisqu’il ne représentait que 6 % des sorties en valeur.

Malgré l’accélération des sorties en 2024, tant leur valeur que leur nombre sont restés bien en deçà de leurs moyennes sur cinq ans, conclut Bain, les gérants (GP) comme les investisseurs (LP) considérant les conditions de sortie comme le principal obstacle à des rendements élevés. Même avec le rebond d’activité enregistré l’an dernier, les distributions en proportion de la valeur liquidative des fonds de capital-investissement ont chuté à 11 %, le plus faible pourcentage des dix dernières années, contre une moyenne de 29 % entre 2014 et 2017.

Recul des levées de fonds pour la troisième année consécutive, intensifiant la concurrence pour le capital

L’analyse de Bain estime que le faible dynamisme persistant des sorties et ses conséquences pour la liquidité du secteur constituent la principale cause de levées de fonds toujours atones. En effet, pour l’ensemble du non-coté, les levées de fonds étaient en recul pour la troisième année de suite en 2024, accusant une chute de 24 % en glissement annuel et de 40 % par rapport au pic historique de 1 800 milliards de dollars enregistré en 2021. Le nombre de fonds closés s’est effondré de 28 %, à 3 000, soit environ moitié moins que le rythme annuel du secteur avant la pandémie de Covid-19.

La principale catégorie d’actifs du secteur, le buyout, a continué d’attirer plus du tiers du total des fonds levés, avec toutefois des levées inférieures de 23 % à celles de 2023, pour un montant total de 401 milliards de dollars fin 2024, soit quelque 11 % de moins que la moyenne des fonds levés dans cette catégorie sur cinq ans. Bien que la proportion de fonds de buyout ayant atteint ou dépassé leur objectif de levée en 2024 se soit inscrite en hausse, à 85 % contre 80 % en 2023, les délais moyens de négociation sont restés aux alentours de 20 mois, ce qui n’est pas très différent des deux années précédentes et représente près du double des délais pré-pandémiques (11 mois environ).

Bain note que les investisseurs deviennent encore plus sélectifs et continuent d’orienter leur capital vers les fonds les plus vastes et les plus expérimentés, à la performance constante et aux stratégies différenciées. C’est ainsi que les gérants du premier quartile ont pu obtenir des augmentations de capital nettement plus conséquentes alors que nombre de fonds des quartiles inférieurs avaient du mal à dépasser, voire à atteindre, leurs objectifs antérieurs.

Les bouleversements du marché appellent une reprise différente des précédentes… et des impératifs stratégiques pour les acteurs du capital-investissement

La concurrence croissante autour du capital et des transactions figure parmi les changements structurels de grande envergure qui, selon Bain, sont amenés à faire évoluer le paysage concurrentiel du secteur dans les années à venir, ce qui obligera les fonds à affûter leur vision stratégique et la mise en œuvre de cette stratégie. Bain avertit les acteurs du capital-investissement qu’ils ne peuvent plus s’attendre à profiter simplement de la remontée du marché comme ils l’ont fait par le passé – en particulier pendant les 15 dernières années, soutenus par les politiques de taux zéro et par la hausse des multiples de valorisation.

Parmi les principaux bouleversements auxquels devront faire face les fonds de capital-investissement, Bain met en avant la compression des marges, dans un contexte de pression croissante sur les frais, encore exacerbée par une tendance au co-investissement sans frais ; la hausse des coûts et de la complexité ; une concurrence acharnée pour les levées de fonds qui polarise le secteur entre les « privilégiés » et les « laissés-pour-compte » ; enfin l’importance de la taille et les effets d’échelle de plus en plus marqués. Bain cite également les nouvelles exigences qui s’imposent aux gérants cherchant de nouvelles sources de financement dans les fonds souverains et les fortunes privées, qui selon l’étude représenteront environ 60 % de la croissance des actifs alternatifs sous gestion au cours des dix prochaines années. Comme la taille des fonds devient un facteur plus important et que les plus gros en tireront des avantages significatifs, Bain conclut également que les fusions-acquisitions dans la catégorie des actifs alternatifs seront plus répandues qu’auparavant, avec 180 opérations de croissance externe depuis 2021.

Face aux bouleversements susceptibles de rebattre les cartes du jeu concurrentiel, Bain indique que les acteurs désireux de l’emporter devront réfléchir à la manière de se différencier, en ayant une idée claire des segments sur lesquels ils souhaitent se positionner face à la concurrence et comment ils s’y prendront, avec une stratégie audacieuse et concrète pour les amener à l’objectif qu’ils visent à un horizon de cinq à dix ans.

La course à l’IA a commencé et les principaux acteurs investissent massivement et mettent en œuvre des cas d’usage concrets

Les fonds de capital-investissement sont en train d’adopter l’IA générative pour accroître la valeur stratégique de leur portefeuille, dans une course pour tirer partir du potentiel de transformation de cette technologie, explique Bain. L’enquête menée par Bain auprès des GP indique qu’une majorité des entreprises des portefeuilles de capital-investissement sont en train de tester et de développer l’IA, près d’une sur cinq appliquant déjà l’IA générative à des cas d’usage, avec des résultats concrets.

Les acteurs du capital-investissement les mieux placés pour tirer parti de l’IA ont misé sur cette technologie et investissent massivement dans le développement des compétences dans ce domaine, tout en aidant les entreprises de leur portefeuille à exploiter la puissance de l’IA pour leurs principales initiatives stratégiques, explique Bain. Ces acteurs font en sorte de recueillir systématiquement les informations recueillies grâce à l’IA, puis de les communiquer, à plus ou moins grande échelle, aux sociétés de leur portefeuille. Ils investissent dans les capacités et dans les talents liés à cette technologie, mettent en place une gouvernance appropriée et concentrent leurs efforts sur les principales priorités business, constate Bain. Sachant que l’IA évolue à la vitesse de la lumière, Bain souligne bien qu’il ne s’agit ni d’une panacée ni d’une approche identique pour tous. En revanche, le rapport conclut que l’apprentissage sur le terrain constitue la meilleure manière de tirer parti du potentiel de l’IA pour réaliser des gains d’efficience et accroître les revenus des fonds de capital-investissement et des entreprises qu’ils détiennent en portefeuille.

Le carve-out sous-performe par rapport aux années précédentes, mais les meilleures opérations peuvent encore livrer de bons résultats

Bain examine également le défi croissant que représente la performance des opérations de détourage de certaines activités des entreprises (« carve-out »). Alors que, jusqu’en 2012, les carve-outs affichaient un multiple moyen d’environ 3,0x le capital investi (MOIC), bien supérieur à celui de 1,8x en moyenne pour les buyouts, il est aujourd’hui tombé à 1,5x. Pour Bain, cette chute de la performance s’explique par des prix d’acquisition tirés à la hausse par une concurrence accrue à l’achat, tandis que les fonds n’apportent plus la même valeur ajoutée que par le passé au niveau opérationnel. Alors que les entreprises issues d’un détourage voyaient leur chiffre d’affaires et leurs marges progresser de respectivement 31 % et 29 % avant 2021, depuis lors ces deux chiffres sont tombés à 17 % et 2 %, selon les données de DealEdge analysées par Bain.

Au vu toutefois des solides rendements des carve-outs du premier quartile, qui affichent un multiple de 2,5x le capital investi (MOIC), Bain conclut que les fonds les plus performants en matière de carve-out ont en commun un lien indéfectible entre la thèse de création de valeur de l’opération et la mise en place des moyens de mise en œuvre. La manière la plus sûre et la moins risquée de réaliser des carve-outs largement rentables consiste à disposer d’un plan extrêmement solide de création de valeur dès la phase de due diligence, couplé à un plan de scission, à une stratégie de gestion des talents et à une feuille de route d’exécution axée sur la création de valeur une fois l’opération de détourage achevée, explique Bain.

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